Sommaire complet
du 02 novembre 2011 - n° 611
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt de la cour administrative d’appel de Nantes n° 09NT01679 du 28 novembre 2010
La Lettre du Maire n°1732 du 13 septembre 2011
Vu la requête enregistrée le 10 juillet 2009, présentée pour M. et Mme X, demeurant ..., par Me Thomé, avocat au barreau de Rennes ; M. et Mme X demandent à la Cour :
1°) d’annuler le jugement n° 07-3844 du 14 mai 2009 du Tribunal administratif de Rennes en tant qu’il a rejeté leur demande tendant à l’annulation de la décision du 20 juillet 2007 par laquelle le maire de Questembert (Morbihan) a décidé d’exercer le droit de préemption urbain sur la parcelle cadastrée à la section XH sous le n° 612 ;
2°) d’annuler, pour excès de pouvoir, ladite décision ;
3°) de mettre à la charge de la commune de Questembert une somme de 3 000 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative ;
Vu les autres pièces du dossier ;
Vu le code général des collectivités territoriales...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°1732 du 13 septembre 2011)
A Questembert (7160 habitants, Morbihan), le maire a exercé le droit de préemption urbain sur un terrain mis en vente par son propriétaire. Comme souvent, l’acquéreur évincé a contesté cette décision, estimant que la préemption n’était pas motivée par la réalisation d’une opération d’aménagement visée à l’article L. 300-1 du code de l’urbanisme. Dans cette affaire, la préemption permettait la constitution de réserves foncières, nécessaires à l’application de la délibération du conseil municipal approuvant le principe d'une opération d'aménagement afin de « répondre aux besoins de logements tout en rééquilibrant et diversifiant l'offre de logements ». En effet, il s’agissait de réaliser, sur ce terrain d'une surface de 34 036 m², un lotissement de trente-neuf...
Michel Degoffe le 13 septembre 2011 - n°1732 de La Lettre du Maire