Sommaire complet
du 01 avril 2021 - n° 819
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt du Conseil d’État n° 432727 du 25 septembre 2020.
La Lettre du Maire n°2169 du 02 mars 2021
Vu la procédure suivante :
Saisi, sur le fondement de l’article L. 521-3 du code de justice administrative, par la commune de Belvezet, le juge des référés du tribunal administratif de Nîmes a, par une ordonnance n° 1902211 du 27 juin 2019, enjoint à la société Orange de prendre toute mesure nécessaire pour rétablir les télécommunications sur la commune de Belvezet sous astreinte de 1 000 euros par jour de retard à compter de la notification de l’ordonnance.
Par un pourvoi sommaire, un mémoire complémentaire et un mémoire en réplique, enregistrés les 18 juillet et 2 août 2019 et 18 mars 2020 au secrétariat du contentieux du Conseil d’Etat, la société Orange demande au Conseil d’Etat :
1°) d’annuler cette ordonnance ;
2°) statuant en...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°2169 du 02 mars 2021)
A la suite de l’arrachage du poteau soutenant la ligne aérienne de télécommunications, la commune de Belvezet (245 habitants, Gard) s’est trouvée privée de communication par téléphone et internet. À la demande de la commune, le juge des référés du tribunal administratif de Nîmes a enjoint la société Orange, qui est titulaire du contrat de fourniture de téléphonie et internet aux services municipaux, de prendre « toute mesure nécessaire pour rétablir les télécommunications sur la commune de Belvezet », sous astreinte de 1000 € par jour de retard.
La société conteste et affirme que le juge administratif n’était pas compétent au motif que le contrat conclu est relatif à la relation entre un service public industriel et commercial (SPIC) et ses usagers et relèverait donc du juge...
Déborah Thebault le 02 mars 2021 - n°2169 de La Lettre du Maire