Sommaire complet
du 15 novembre 2016 - n° 722
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt de la cour administrative d’appel de Douai n° 15DA00244 du 15 septembre 2016.
La Lettre du Maire n°1964 du 27 septembre 2016
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure :
Par une requête, enregistrée le 29 octobre 2012, le Syndicat intercommunal des installations sportives du collège Jacques Prévert de Flavy-le-Martel a demandé au tribunal administratif d’Amiens de condamner la société Envirosport Entreprises, à titre principal, à procéder à ses frais à la réfection du revêtement de sol de la « Halle de Sports » dans le délai d’un mois à compter du jugement à intervenir sous astreinte de 100 euros par jour de retard ou, à titre subsidiaire, de la condamner à lui verser la somme de 131 217,60 euros en réparation des désordres, ainsi que la somme de 3 000 euros la somme sur le fondement de l’article L. 761-1 du code de justice administrative.
Par un jugement n° 1202997 du 16 décembre...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°1964 du 27 septembre 2016)
A Flavy-le-Martel (1 669 habitants, Aisne),le syndicat intercommunal des installations sportives d’un collège a demandé la réfection du revêtement de sol d’une salle de sports à l’entreprise à qui il avait confié ces travaux. Des fissurations étaient apparues sur le revêtement de sol trois ans après la réception sans réserve des travaux. L’entreprise n’a pas pu remédier à ces fissurations malgré l’application d’une couche de résine supplémentaire. Mais, la cour administrative a rejeté le recours du syndicat intercommunal demandant l’indemnisation du préjudice. La cour a d’abord rappelé que la réception d’un ouvrage met fin aux relations contractuelles entre le maître de l’ouvrage et les constructeurs en ce qui concerne la réalisation de l’ouvrage : la responsabilité des constructeurs ne peut plus alors être recherchée sur le fondement...
non signé le 27 septembre 2016 - n°1964 de La Lettre du Maire