Sommaire complet
du 15 septembre 2017 - n° 740
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt du Conseil d’Etat n° 383048 du 7 juin 2017.
La Lettre du Maire n°2000 du 27 juin 2017
Vu la procédure suivante :
La commune de Gouvieux a demandé au tribunal administratif d’Amiens de condamner l’Etat à lui verser la somme de 1 014 614 euros, majorée des intérêts au taux légal à compter du 18 décembre 2009, en réparation du préjudice qu’elle estime avoir subi du fait d’omissions et d’erreurs dans les bases d’imposition à la taxe professionnelle sur son territoire au titre des années 2005 à 2008. Par un jugement n° 1001057 du 18 octobre 2012, le tribunal administratif d’Amiens a rejeté sa demande.
Par un arrêt n° 12DA01907 du 28 mai 2014, la cour administrative d’appel de Douai a annulé ce jugement, partiellement fait droit à l’appel de la commune en condamnant l’Etat à lui verser la somme de 488 323 euros majorée des intérêts au taux légal à compter du 18 décembre...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°2000 du 27 juin 2017)
A Gouvieux (9 569 habitants, Oise), la commune demandait la condamnation de l’Etat pour faute dans l’établissement des bases d’imposition à la taxe professionnelle. En effet, à la suite d’un audit qu’elle avait commandé, la commune a estimé que les bases d’imposition de plusieurs associations avaient été omises ou sous-évaluées entre 2005 et 2009. La cour administrative de Douai lui a, en partie, donné raison, en condamnant l’Etat à lui verser la somme de 488 323 € en 2014, majorée des intérêts au taux légal. Mais en cassation, le Conseil d’Etat a rejeté la demande de la commune. Il a précisé qu’une faute de l’administration dans l’établissement ou le recouvrement de l’impôt local peut engager la responsabilité de l’Etat à l’égard d’une commune si elle lui a directement causé un...
non signé le 27 juin 2017 - n°2000 de La Lettre du Maire