Sommaire complet
du 17 octobre 2011 - n° 610
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt de la cour administrative d’appel de Bordeaux n° 10BX02494 du 13 juillet 2011
La Lettre du Maire n°1731 du 06 septembre 2011
Vu la requête, enregistrée au greffe de la cour le 28 septembre 2010 par télécopie, et régularisée par la production de l’original le 4 octobre 2010, présentée pour M. Jean-Claude A, demeurant ..., par Me Aljoubahi, avocat ;
M. A demande à la cour :
1°) d’annuler le jugement n° 0702887 du 1er juillet 2010 par lequel le Tribunal administratif de Bordeaux a rejeté sa demande tendant à l’annulation de la décision du 20 mars 2007 par laquelle le maire de Condat-sur-Vézère a refusé de réaliser, sur le chemin dit des Gratats , des travaux d’entretien et d’amélioration ;
2°) d’annuler la décision attaquée ;
3°) d’enjoindre à la commune de Condat-sur-Vézère qu’elle entretienne ce chemin et qu’elle porte sa largeur à quatre mètres, de façon à permettre le passage des véhicules de secours et...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°1731 du 06 septembre 2011)
A Condat-sur-Vézère (865 habitants, Dordogne), le maire a refusé de réaliser des travaux d’entretien et d’amélioration (élargissement) d’un chemin malgré la demande d’un habitant. La cour administrative a donné raison au maire. Le chemin, affecté à l’usage du public, appartient à la commune. Que le maire y ait interdit la circulation des poids-lourds n’entraîne pas son classement en voie communale. Ce chemin est donc un chemin rural, et non une voie communale soumise à l’obligation d’entretien. Or, une commune n’a l’obligation d’entretenir les chemins ruraux ouverts à la circulation publique que si elle a exécuté, après l’incorporation du chemin dans la voirie rurale, des travaux destinés à en assurer ou à en améliorer la viabilité. Dans cette...
Sylvie MARTIN le 06 septembre 2011 - n°1731 de La Lettre du Maire