Sommaire complet
du 02 décembre 2024 - n° 899
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt du Conseil d’Etat n° 467520 du 11 octobre 2024
La Lettre du Maire n°2337 du 29 octobre 2024
Arrêt du Conseil d’Etat n° 467520 du 11 octobre 2024
Vu la procédure suivante :
La société Groupama Paris Val de Loire a demandé au tribunal administratif de Versailles de condamner, d’une part, la commune de Villebon-sur-Yvette (Essonne), et, d’autre part, l’Etat, à lui verser les sommes de 1 158 660,40 euros et 336 721,40 euros correspondant aux indemnités d’assurance qu’elle a versées à la société Icade au titre des préjudices subis à l’occasion de l’occupation illégale de ses terrains par des gens du voyage respectivement en décembre 2014 et de septembre 2016 à janvier 2017.
Par un jugement n° 1807865 et 1807866 en date du 30 octobre 2020, le tribunal administratif a, d’une part, rejeté les conclusions dirigées contre la commune de Villebon-sur-Yvette...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°2337 du 29 octobre 2024)
Un ensemble immobilier à Villebon-sur-Yvette (Essonne, 10 322 habitants) a été occupé à plusieurs reprises, entre 2014 et 2017, par des gens du voyage et a subi d'importantes dégradations. Le propriétaire a été indemnisé par son assureur. Ce dernier se retourne ensuite contre la commune et l’Etat. La cour administrative juge qu’aucune faute ne peut être reprochée à la commune. La commune a respecté ses obligations en matière d’aires d’accueil telles qu’elles sont fixées par le schéma départemental d'accueil des gens du voyage. La commune a réalisé une aire d’accueil. Conformément à la loi du 5 juillet 2000, le maire pouvait donc prendre un arrêté interdisant aux gens du voyage de stationner ailleurs, ce qu’il a fait. Certes, le schéma départemental a été modifié et a prévu la réalisation d’une aire de grand passage destinée à l'accueil de...
Michel Degoffe le 29 octobre 2024 - n°2337 de La Lettre du Maire