Sommaire complet
du 15 septembre 2022 - n° 850
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt de la cour administrative d’appel de Versailles n° 20VE02471 du 9 juin 2022.
La Lettre du Maire n°2232 du 28 juin 2022
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure :
La commune de Taverny a demandé au tribunal administratif de Cergy-Pontoise d’annuler l’arrêté du 19 décembre 2017 par lequel le préfet du Val d’Oise a prononcé la carence de la commune en matière de construction de logements sociaux en application de l’article L. 302-9-1 du code de la construction et de l’habitation et a fixé à 200 % le taux de majoration du prélèvement par logement manquant à compter du 1er janvier 2018 pour une durée de trois ans et d’annuler la décision implicite par laquelle le préfet du Val d’Oise a rejeté son recours gracieux.
Par un jugement n° 1804684 du 7 juillet 2020, le tribunal administratif de Cergy-Pontoise a ramené à 100 % le taux du prélèvement prévu par l’article...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°2232 du 28 juin 2022)
Le préfet a prononcé la carence de la commune de Taverny (Val d’Oise, 26 077 habitants) qui n’avait pas construit assez de logements sociaux, en application de l'article L. 302-9-1 du code de la construction et de l'habitation. Le préfet a fixé à 200 % le taux de majoration du prélèvement par logement manquant à compter du 1er janvier 2018 pour une durée de trois ans. La commune conteste cette majoration. Elle obtient partiellement satisfaction puisque le juge réduit la majoration à 100 %. Mais, pour le reste, la cour administrative juge le prélèvement justifié. La commune reconnaît qu’elle n’a pas atteint le quota de logements sociaux imposé par la loi aux communes de 3 500 habitants (ou 1 500 habitants pour celles situées dans l’aire urbaine de Paris). Mais elle fait remarquer qu’elle a...
Michel Degoffe le 28 juin 2022 - n°2232 de La Lettre du Maire