Sommaire complet
du 15 décembre 2015 - n° 702
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt de la cour administrative d’appel de Versailles n° 14VE03567 du 15 octobre 2015.
La Lettre du Maire n°1923 du 27 octobre 2015
Vu la procédure suivante :
Procédure contentieuse antérieure :
Mme B... A... a demandé au Tribunal administratif de Versailles d’annuler l’arrêté du 25 janvier 2012 par lequel le maire de la commune de Bonnières-sur-Seine lui a retiré les délégations qu’il lui avait consenties et de condamner la commune de Bonnières-sur-Seine à lui verser la somme de 10 000 euros à titre de dommages et intérêts.
Par un jugement n° 1202515, 1303600 du 23 octobre 2014 le Tribunal administratif de Versailles a rejeté ses demandes.
Procédure devant la Cour :
Par une requête, enregistrée le 18 décembre 2014, Mme A..., représentée par Me Abbes, avocat, demande à la Cour :
1° d’annuler ce jugement ;
2° de faire droit à l’ensemble de ses demandes ;
3° de mettre à la charge de la commune de Bonnières-sur-Seine le versement de la somme de 6 000...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°1923 du 27 octobre 2015)
A Bonnières-sur-Seine (4 611 habitants, Yvelines), le maire a retiré sa délégation de fonctions à l’adjointe chargée des finances, de l’enfance, de la vie scolaire et de la jeunesse et des sports. En effet, le maire peut, à tout moment, mettre fin aux délégations qu’il a accordées, sous réserve que sa décision ne soit pas inspirée par des motifs étrangers à la bonne marche de l’administration communale (articles L. 2122-18 et L. 2122-20 du code général des collectivités territoriales). L’adjointe a contesté cette décision. La cour administrative a donné raison au maire. Le retrait était motivé par des désaccords persistants entre le maire et l’adjointe, à propos de la gestion d’affaires scolaires, de terrain de sports ou de projet urbain pour le centre...
non signé le 27 octobre 2015 - n°1923 de La Lettre du Maire