Sommaire complet
du 01 février 2011 - n° 595
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt du Conseil d’Etat n° 338338 du 17 novembre 2010
La Lettre du Maire n°1697 du 30 novembre 2010
Vu l’ordonnance n° 09LY02989 en date du 17 mars 2010, enregistrée le 2 avril 2010 au secrétariat du contentieux du Conseil d’Etat, par laquelle le président de la cour administrative d’appel de Lyon a transmis au Conseil d’Etat, en application de l’article R. 351-2 du code de justice administrative, la requête présentée devant cette cour pour la société civile immobilière (SCI) DOMAINE DE LA RIVOIRE ;
Vu la requête, enregistrée le 22 décembre 2009 au greffe de la cour administrative d’appel de Lyon, présentée pour la SCI DOMAINE DE LA RIVOIRE, dont le siège est à Rivoire Basse à Monistrol-sur-Loire (43120), agissant en exécution d’un jugement du tribunal de grande instance du Puy-en-Velay en date du 30 janvier 2009 ; la SCI DOMAINE DE LA RIVOIRE demande au Conseil d’Etat :
1°) d’annuler le jugement n° 091083 du 4 novembre 2009 par lequel le...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°1697 du 30 novembre 2010)
A Monistrol-sur-Loire (9 000 habitants, Haute-Loire), le conseil municipal avait décidé de céder gratuitement, en 1986, des tronçons d’un chemin rural appartenant à son domaine privé et passant par un lotissement. En échange, il avait accepté de recevoir, gratuitement également, des terrains appartenant à une société civile immobilière (Sci). Cette délibération a été jugée illégale. En effet, à l’époque, le maire était également associé de la Sci dont son épouse assurait la gérance. En tant qu’associé de la Sci, le maire avait un intérêt distinct de celui de la commune à la cession des parcelles du chemin rural et devait être considéré comme intéressé à l’affaire. Or, l’article L. 121.35 du code des communes, aujourd’hui repris à l’article...
Sylvie MARTIN le 30 novembre 2010 - n°1697 de La Lettre du Maire