Sommaire complet
du 16 décembre 2013 - n° 658
-
Finances locales
-
Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt de la cour administrative d’appel de Douai n° 12DA01948 du 24 octobre 2013
La Lettre du Maire n°1831 du 05 novembre 2013
Vu la requête, enregistrée le 28 décembre 2012, présentée pour Mme C... B..., demeurant..., par Me D... A... ;
Mme B... demande à la cour :
1°) d’annuler le jugement nos 1100700-1100702-1100703 du 4 décembre 2012 par lequel le tribunal administratif d’Amiens a rejeté ses demandes tendant, d’une part, à l’annulation de l’arrêté du 20 janvier 2011 par lequel le maire de la commune de Chauny lui a retiré sa délégation de fonctions d’adjointe chargée de l’administration générale, de l’arrêté du 3 février 2011 modifiant l’arrêté du 20 janvier 2011 ainsi que de la délibération du 3 février 2011 du conseil municipal de la commune de Chauny mettant fin à ses fonctions d’adjointe au maire chargée de l’administration générale, d’autre...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°1831 du 05 novembre 2013)
À Chauny (12 420 habitants, Aisne), le maire a retiré sa délégation de fonctions à l’adjointe chargée de l’administration générale, puis le conseil municipal a mis fin à ses fonctions d’adjointe, conformément à l’article L. 2122-18 du code général des collectivités territoriales. Saisie, la cour administrative a donné raison à la commune. Elle a d’abord indiqué que ces décisions n’étant pas des sanctions, elles n’avaient pas à être motivées. Elle a ensuite rappelé que le maire pouvait, à tout moment, mettre fin aux délégations qu’il a consenties, si sa décision n’est pas inspirée par des motifs étrangers à la bonne marche de l’administration communale. Or, dans cette affaire, le maire a retiré sa délégation en raison de graves difficultés apparues dans les relations que l’adjointe entretenait avec les agents du service de l’état...
Sylvie MARTIN le 05 novembre 2013 - n°1831 de La Lettre du Maire