Sommaire complet
du 01 avril 2011 - n° 599
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt du Conseil d’Etat n° 322638 du 19 janvier 2011
La Lettre du Maire n°1707 du 15 février 2011
Vu la décision du 5 août 2009 par laquelle le Conseil d’Etat, statuant au contentieux, a prononcé l’admission partielle des conclusions du pourvoi de la COMMUNE DE GUEUGNON dirigées contre l’arrêt n° 05LY01614 du 25 septembre 2008 par lequel la cour administrative d’appel de Lyon a rejeté sa requête tendant, d’une part, à l’annulation du jugement n° 0100754 du 30 juin 2005 par lequel le tribunal administratif de Dijon a rejeté sa requête tendant à la condamnation solidaire de l’entreprise Raymond TP, de M. A, architecte, de l’entreprise Bellaton et de l’Etat à lui verser la somme de 243 624,28 euros toutes taxes comprises avec intérêts de droit à compter de la date de la demande de première instance en réparation des désordres affectant une passerelle pour...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°1707 du 15 février 2011)
A Gueugnon (8 098 habitants, Saône-et-Loire), la commune a demandé réparation aux constructeurs d’une passerelle pour piétons, enjambant la rivière, en raison de malfaçons nuisant à son accessibilité aux personnes handicapées. Cette passerelle fait partie de la voirie publique. Elle a été mise en service en janvier 1999, la réception de l’ouvrage ayant été prononcée, avec réserves, le 21 mars 2000. La commune a voulu rechercher la responsabilité des constructeurs, la passerelle n’étant pas conforme à la réglementation sur l’accessibilité aux personnes handicapées. Toutefois, selon le Conseil d’Etat, saisi en cassation, l’exigence d’un pallier tous les 10 mètres lorsque la pente est supérieure à 4%, tout en restant inférieure à 5%, n’a été introduite dans la réglementation applicable à la voirie publique que par un arrêté ministériel du...
Sylvie MARTIN le 15 février 2011 - n°1707 de La Lettre du Maire