Sommaire complet
du 15 octobre 2014 - n° 676
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Finances locales
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Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Arrêt du Conseil d’Etat n° 361570 du 16 juillet 2014
La Lettre du Maire n°1867 du 22 juillet 2014
Vu le pourvoi, enregistré le 1er août 2012 au secrétariat du contentieux du Conseil d’Etat, présenté par le ministre chargé du budget ; le ministre demande au Conseil d’Etat :
1°) d’annuler l’arrêt n° 11NT03076 du 7 juin 2012 par lequel la cour administrative d’appel de Nantes, après avoir annulé le jugement n° 07-900 du 11 février 2009 du tribunal administratif de Caen, a condamné l’Etat à payer à la commune de Cherbourg-Octeville la somme de 928 880 euros, avec intérêts au taux légal à compter du 27 décembre 2006 ;
2°) réglant l’affaire au fond, de faire droit à son appel ;
Vu les autres pièces du dossier ;
Vu le code général des impôts et le livre des procédures fiscales ;
Vu la loi n° 68-1250 du 31 décembre 1968 ;
Vu le code de justice administrative...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°1867 du 22 juillet 2014)
L’Etat devra verser une indemnité de 441 898 € plus les intérêts à la commune de Cherbourg-Octeville (39 193 habitants, Manche) qui réclamait à l’Etat des arriérés de taxe professionnelle dus par la Direction des constructions navales (DCN). En effet, la taxe professionnelle versée à la commune par l’entreprise a longtemps été sous-évaluée, la valeur locative ayant été illégalement déclarée hors taxe, par la DCN, jusqu’en 2001. Alertée par le bond de sa taxe professionnelle entre 2001 et 2002, la commune a demandé aux services fiscaux de rectifier la valeur locative déclarée par le passé. Le Conseil d’Etat a reconnu la responsabilité de l’Etat pour 2001, mais pas pour les années antérieures car la commune aurait pu exercer sa vigilance plus...
Sylvie MARTIN le 22 juillet 2014 - n°1867 de La Lettre du Maire