Sommaire complet
du 01 septembre 2016 - n° 717
-
Finances locales
-
Réglementation
Jean-Philippe Vaudrey
Maîtriser le code de déontologie des agents de police municipale
Appliquer la bonne sanction disciplinaire
Exécuter ses missions
Agréments et retrait d’agréments des agents de police municipale
Cumul d’activités et activités accessoires
Réagir face aux outrages, rébellions et refus d’obtempérer
La protection fonctionnelle des agents de police municipale
Annexe : le code de déontologie
Un précis concret, utile et unique répondant aux interrogations quotidiennes des agents de police municipale, conçu pour les guider en toutes circonstances.
1 ère édition - octobre 2019
74 pages – ISBN : 2-905529-72-5
24,80 € TTC port compris
Décrets nos 2016-632, 2016-633 et 2016-641 du 19 mai 2016 – Affaires sociales et santé – JO du 21 mai 2016, textes nos 16, 17 et 25.
La Lettre du Maire n°1952 du 31 mai 2016
Le Premier ministre,
Décrète :
Article 1er. - L’article R. 264-4 du code de l’action sociale et des familles est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. R. 264-4. - Sont considérées comme ayant un lien avec la commune ou le groupement de communes au sens de l’article L. 264-4 les personnes dont le lieu de séjour est le territoire de la commune ou du groupement de communes à la date de demande d’élection de domicile, indépendamment du statut ou du mode de résidence.
Les personnes qui ne remplissent pas la condition énoncée à l’alinéa précédent sont également considérées comme ayant un lien avec la commune ou le groupement de communes, au sens de l’article L. 264-4, dès lors qu’elles satisfont à l’une des conditions suivantes :
- y exercer une activité professionnelle...
(Lien vers l'article de La Lettre du Maire n°1952 du 31 mai 2016)
La domiciliation ouvre la possibilité aux personnes sans domicile stable d’accéder à des droits et prestations sociales. La loi pour l’accès au logement et un urbanisme rénové du 24 mars 2014 a réformé le dispositif. Alors qu’il existait trois procédures de domiciliation (l’une pour les demandeurs d’asile, l’autre pour l’aide médicale d’Etat (AME), l’autre de droit commun au contenu imprécis), la loi a unifié la domiciliation de droit commun et celle de l’AME. Elle a aussi étendu les motifs de domiciliation. Ainsi, la demande de domiciliation est reconnue légitime pour prétendre aux prestations sociales légales, à l’exercice des droits civils, à la délivrance d’un titre national d’identité, à l’inscription sur les listes électorales, à l’aide...
Sylvie MARTIN le 31 mai 2016 - n°1952 de La Lettre du Maire